Notre histoire

 

Saint-Philippe-de-Néri est une municipalité située au cœur du comté de Kamouraska, entre mer et montagne. La municipalité est aussi près des grands centres tels que La Pocatière (environ 20 kilomètres) et Rivière-du-Loup (environ 50 kilomètres), ce qui facilite l’accès aux différents services des 876 philippéennes et philippéens.

Les premiers habitants arrivent à cet endroit en 1790 et les lieux sont identifiés comme Côte-des-Beaux-Biens (Côte-Beaubien, Côte-de-Beaubien, Côte-de-Beaux-Biens). Après avoir subi trois échecs en 1855, 1856 et 1859, les habitants obtiennent enfin, en 1871, une paroisse détachée de Saint-Denis, Mont-Carmel, Saint-Pascal, Saint-Pacôme et Saint-Louis, placée sous la protection de saint Philippe de Néri. Cette appellation servira également à identifier la municipalité de paroisse créée en 1875. Il revient à monseigneur Charles-François Baillargeon, arrivant d’un voyage à Rome, d’avoir choisi ce saint. Philippe Néri (1515-1595) jouissait à ce moment-là à Rome d’une grande popularité. Même si les citoyens avaient choisi comme patron saint Jean-Baptiste, en l’honneur de Jean-Baptiste Sérien qui avait fait don du terrain pour construire l’église, ils se rallièrent à la suggestion de l’évêque qui désirait pallier toute homonymie. Prêtre italien, Philippe Néri fonde l’Oratoire en 1575 qui regroupe des prêtres séculiers vivant en commun pour travailler au salut des âmes.

Située au carrefour de la Route 230 et de la 287, sa situation géographique favorise l’installation de plusieurs industries telles que la Meunerie Dynaco, les Bois-Francs, G.Lemieux et autres.

Notre municipalité se taille une place enviable dans le territoire du Kamouraska. L’agriculture et différentes industries et commerces procurent de l’emploi à plusieurs personnes. Saint-Philippe-de-Néri offre de nombreux services à sa population. La variété de ses activités, tant culturelles, sociales et sportives, fait qu’on aime y vivre et qu’on y est bien.